• Dr House

    Dr  House

    Synopsis:

    Le docteur Gregory House, est un brillant médecin à tendance misanthrope qui dirige une équipe de « diagnosticiens » (internistes en français) au sein de l'hôpital fictif de Princeton-Plainsboro dans le New Jersey. House est un personnage arrogant, cynique, anticonformiste et asocial. Il souffre d'une claudication provenant d'une douleur chronique à la jambe droite due à un infarctus du muscle de la cuisse. Il marche avec une canne et abuse de Vicodin, un analgésique opiacé à base de paracétamol et d'hydrocodone, pour soulager sa douleur.

     

    Avec son équipe, composée des docteurs Allison Cameron, Robert Chase et Eric Foreman, il est chargé d'éclaircir des mystères médicaux, lorsque d'autres médecins ont baissé les bras sans avoir pu trouver la cause ou le traitement des symptômes que les patients présentent. Contraint de recruter une nouvelle équipe au début de la quatrième saison, House engage Chris Taub, Remy Hadley et Lawrence Kutner, puis les docteurs Masters, Adams et Park dans les dernières saisons.

     

    Souvent en conflit avec sa patronne, administratrice de l'hôpital et doyenne de la faculté, le Dr Lisa Cuddy, il compte sur le soutien fluctuant de son meilleur et unique ami, le Dr James Wilson.(Wikipédia)

    Distribution:

    • Hugh Laurie : Gregory House 
    • Lisa Edelstein  : Lisa Cuddy 
    • Robert Sean Leonard  : James Wilson 
    • Omar Epps  : Eric Foreman 
    • Jennifer Morrison  : Allison Cameron
    • Jesse Spencer : Robert Chase 
    • Peter Jacobson  : Chris Taub
    • Olivia Wilde ( : Remy Hadley alias « Numéro Treize »
    • Kal Penn  : Lawrence Kutner 
    • Amber Tamblyn : Martha M. Masters
    • Odette Annable  : Jessica Adams 
    • Charlyne Yi  : Chi Park 

                                

    Secret de tournages:

    Naissance (et mort) d'un spin-off...

    En mai 2008, alors que la 5ème saison de Dr House n'a pas encore été diffusée aux Etats-Unis, naissent pour la première fois des rumeurs de spin-off. On parle alors d'un projet prévu pour la saison suivante et centré sur un nouveau personnage masculin, introduit au préalable dans un arc de plusieurs épisodes de House. En lieu et place d'un médecin, ce nouveau héros est alors envisagé comme un détective privé, interprété par Michael Weston. Laissée en suspens pendant près de deux ans, cette idée de spin-off est finalement abandonnée par David Shore et Katie Jacobs, les manitous du show. Pour autant, les deux créateurs n'excluent pas de trouver un nouveau concept...

    Sentiment de culpabilité

    Le père de Hugh Laurie était lui-même médecin. L'acteur a déclaré se sentir coupable de gagner beaucoup plus d'argent que lui en ne faisant que semblant de soigner des gens...

    Ce maudit House !

    Hugh Laurie aurait dû jouer Perry White dans Superman Returns, réalisé par Bryan Singer (réalisateur du pilote de House et producteur exécutif de la série). Malheureusement, le planing de tournage de la série ne lui permit pas de s'engager pour le film et il fut remplacé sur grand écran par Frank Langella.

    Romance en coulisses

    Partenaires à l'écran, Jennifer Morrison et Jesse Spencer ont été bien plus que ça en coulisses. S'étant fréquentés en cachette pendant un temps, les deux tourtereaux ont a officialisé leurs fiançailles en décembre 2006... avant de rompre quelques mois plus tard, en août 2007.

    Le générique

    Lorsque la série débarque à la télévision, les téléspectateurs sont immédiatement subjugués par le générique de début, par les images comme par la musique. La chanson utilisée s'intitule "Teardrop", tirée de l'album "Mezzanine", du groupe Massive Attack.

    C'est lui le premier

    Robert Sean Leonard est le premier acteur à avoir été engagé pour la série. De son côté, Hugh Laurie auditionna au départ pour la série... en vidéo ! L'acteur était immobilisé loin de Los Angeles : il était en Namibie sur le tournage du Vol du Phoenix.

    Question de karma

    Le docteur House est inspiré du célèbre détective Sherlock Holmes ! Ironie de l'histoire : le personnage créé par Arthur Conan Doyle est lui-même fondé sur un médecin : le docteur Bell, spécialisé dans les diagnostiques.

    Un anglais qui se fait passer pour un américain

    Durant l'audition de Hugh Laurie, David Shore raconte que Bryan Singer avait exprimé son enthousiasme pour le comédien, ajoutant qu'il était heureux d''auditionner exactement le type d'acteur qu'il avait en tête : un vrai américain ! Le réalisateur ignorait alors que Laurie était en réalité un citoyen britannique ! En effet, Hugh Laurie est né en 1959 à Oxford !

    Egocentrique ? Qui a dit égocentrique ?

    Dans la saison 2, lorsque Wilson emménage chez House, les téléspectateurs peuvent apercevoir la liste de programmes télévisés que l'affreux docteur a enregistré. Dans le catalogue figure en bonne place La Vipère noire, une série comique anglaise dans laquelle jouait un certain... Hugh Laurie !

    L'armoire à récompenses est prête

    Nommée à de multiples reprises aux Golden Globes et aux Emmy Awards, la série n'a pas encore raflé toutes les statuettes. Dans son armoire à récompenses ne trônent "que" 3 trophées, mais pas des moindres. En 2005, David Shore a glané l'Emmy Award du "Meilleur scénario pour un épisode de série dramatique" (pour l'épisode "Cours magistral", 1.21). Hugh Laurie a fait mieux : en 2006 puis en 2007, il a été sacré "Meilleur Acteur dans une série dramatique" lors des Golden Globes.

    Des audiences explosives !

    Les audiences de Dr [H]ouse montrent très clairement une montée en puissance de la série et prouvent à quel point elle est un véritable phénomène. La première saison a été suivie par une moyenne de 13,3 millions de téléspectateurs, la seconde par 17,3 millions d'américains et la troisième par... 19,4 millions d'accros ! La progression est d'autant plus exceptionnelle que la série est diffusée sur la Fox, chaîne aux audiences globales plus basses que celles des gros networks ABC, CBS ou NBC.

                   

    Mon avis:

       Docteur Grégory House est un vrai anti héros:il est antipathique,cynique ,manipulateur,pourtant on lui souhaite de s'en sortir,de réussir à guérir.Les saisons se sont suivies et ne se sont pas ressemblées,les producteurs l'ont fait passés par toutes les étapes:hôpital psy,des réactions compléments dingues,et ,l'avant dernière saison,une belle lueur né ,il connait l'amour, il a l'envie de se poser,mais c'ets par la case prison qu'il va passer,bouleversant complètement son univers.Dans la dernière saison,il va être confronté à beaucoup de déconvenues,plus rien ne sera comme avant,et c'est sur l'amitié qu'il va finalement se centrer,sur le seul personnage à être présent pour lui le départ,bien évidemment ,je ne vais pas décrire la fin bien que  tirée par les cheveux est quand même explosive.Cette série et ce personnage atypique manquent quand même cruellement ,Nurse Jackie est un peu dans la même lignée,mais c'est quand même différent.En tous les cas ,dans cette série ,on trouve du drame,de l'humeur, de l'audace ,du cynisme ,elle est très loin d'être ennuyeuse bien qu'on ne comprenne pas toutes les pathologies citées,une série presque parfaite,en fait.

    Comparaison:

    Dr House, un nouveau Sherlock Holmes(Première)

    Loin de l'agitation incessante et étourdissante des séries  Grey's Anatomy ou Urgences,Dr House se présente comme un polar, presque à huis-clos. Pareille aux enquêtes des Experts, la série nous plonge au cœur du patient, à la recherche des symptômes et de leurs causes. Du coup, la vie de l'hôpital est reléguée au second plan tout comme la vie privée des protagonistes.

    A chaque épisode, un cas seulement est traité. Mais quel cas ! Mobilisant toute l'équipe de médecins lors d'interminables séances de groupe, les hypothèses sont décortiquées, analysées, comparées, et même testées. Ainsi la série est centrée sur le personnage de Greg House , véritable Sherlock Holmes en blouse blanche.

    D'ailleurs, à la manière d'un hommage, de nombreux traits rapprochent le Dr. Gregory House du célèbre détective créé par Arthur Conan Doyle. Du numéro de l'appartement ( 221B, le même que celui de Baker Street), au nom de certains patients comme Moriarty, les points communs sont légion : la drogue (Vicodine contre Morphine), la musique (piano contre violon), ou encore la technique d'investigation qu'est l'induction, partant des faits pour trouver une loi générale. Pour le reste, à vous de jouer !

    Dr  House

    Interview de la productrice:http://www.ozap.com/actu/-dr-house-la-productrice-reconnait-que-la-serie-est-parfois-allee-trop-loin/447537

    Commençons par une question très simple : en quoi consiste le rôle de producteur ou de productrice ? Quelle était votre implication dans "Dr House" ?

    C'est une très bonne question ! Parce que, quand on regarde la série, on voit énormément de noms de gens qui sont producteurs. L'idée de la série "Dr House" vient de moi. Il y a plusieurs types de producteurs, et moi, je suis productrice créative. L'idée de la série m'est venue après avoir lu un article dans le magazine du New York Times, cette idée d'une série médicale qui est aussi un mystère : qu'arrive-t-il à ce patient ? Gail Berman dirigerait Fox à l'époque et je me suis souvenue que, plus tôt cette année-là, elle m'avait dit "Je veux une série médicale mais je ne veux pas voir des blouses blanches qui courent dans les couloirs !". J'avais travaillé avec David Shore sur une série auparavant, j'avais un contrat avec lui. Lui était avocat avant d'être scénariste, et il m'a dit "Mais je ne peux pas écrire une série médicale, je suis avocat !". Je lui ai dit que si ! En tant que productrice non-scénariste, j'ai dû trouver les réalisateurs, organiser les castings, trouver les équipes...

    Tout ça, c'est ce que vous avez dû faire au début, pour lancer la série. Mais vous êtes restée productrice pendant les huit saisons : que faisiez-vous sur la série ?

    J'étais très impliquée. J'interagissais beaucoup entre la chaîne et le studio. Et puis il y avait aussi l'esthétique du show. Il fallait trouver des réalisateurs parce qu'il y avait 24 épisodes par saison. Il faut donc embaucher les gens qualifiés pour retranscrire à l'écran l'esprit de la série. Et puis il fallait suivre la construction des décors, il y avait le marketing, la publicité, la post-production...

    Et vous avez réussi à continuer à vivre à côté de tout ça ?

    J'ai vécu là-bas, sur place ! Ils ne me laissaient pas beaucoup sortir ! (Rires) Certains partaient faire des enfants, revenaient, et moi j'étais toujours là ! Mais c'était un boulot fantastique. J'ai travaillé avec des scénaristes phénoménaux, des équipes talentueuses, des acteurs magnifiques...

    "Parfois, on est allé trop loin"

    Vous avez vendu l'idée de la série à Fox. A l'époque, les héros aussi négatifs n'existaient pas vraiment, en tous cas pas sur les grandes chaînes. Ca a été difficile ?

    Oui. C'était nouveau et c'était compliqué. Mais l'une des forces d'un acteur aussi talentueux que Hugh Laurie, c'est que, en plus d'être intelligent, sarcastique et arrogant, il est surtout drôle ! Ca rend les choses plus faciles. Et il a une vraie profondeur d'âme ! C'est le genre d'acteurs qui peut être une chose à l'extérieur et une autre à l'intérieur quand on braque la caméra sur lui. Il peut être arrogant, méchant même, mais si on regarde dans ses yeux, il vous invite à le découvrir. On voit qu'il y a autre chose derrière que sa méchanceté. Si on avait casté le mauvais acteur, je pense qu'on n'aurait pas pu lui pardonner autant de choses.

    Justement, au fil des saisons, House a fait des choses assez affreuses. Les fans étaient parfois très critiques sur les actions du personnage, certains trouvaient qu'on ne pouvait plus lui pardonner. Est-ce que vous vous posiez souvent la question de savoir jusqu'où il était possible d'aller ?

    On se posait sans cesse cette question ! Côté médical, il ne pouvait jamais aller trop loin tant qu'il ne tuait pas le patient. S'il le sauvait, tous les trucs fous qu'ils s'étaient permis étaient justifiés. Qu'il stoppe leur coeur, qu'il leur retire tout leur sang, qu'il provoque des convulsions... Tant qu'il survit, il peut aller aussi loin qu'on veut. Mais sur le plan émotionnel et social, c'est une question très différente. Je pense que, pendant plusieurs saisons, le fait de garder une certaine distance avec les gens était compréhensible parce que ça venait d'une faiblesse, en fait. Au début de la série, évidemment, le fait qu'il ait un handicap n'était pas arbitraire. Il disait qu'il n'aimait pas voir les patients, mais en réalité, il n'aimait pas être vu par eux. Parce que c'est difficile d'avoir confiance en un médecin qui est handicapé, selon lui. Il se cachait beaucoup. Parfois, on est allé trop loin. Et les fans nous l'ont fait savoir.

    "La fin de la série a été dure"

    Quand on a un personnage central aussi fort, comment fait-on pour développer malgré tout des intrigues intéressantes pour les personnages qui l'entourent ?

    Ce qui est amusant, c'est que chaque personnage qu'on met en contact avec House est une manière d'en apprendre plus sur lui, en fait. Et c'est l'une des choses que j'ai le plus aimées quand on a introduit de nouveaux personnages dans la saison 4. C'était une nouvelle façon de découvrir ses réactions face à des personnages différents. On ne savait jamais à quoi s'attendre. On a eu la chance que les autres acteurs aient la force et la stature de porter des personnages forts. Ce que j'adorais quand on faisait des table reads - on s'asseyait autour d'une table avant chaque épisode pour lire le scénario -, c'est que les acteurs comme Robert Sean Leonard ou Omar Epps ou Lisa Edelstein avaient leur voix à eux. On n'a jamais eu des personnages faibles ou similaires. On n'aurait jamais pu confondre Cuddy et Cameron, qui sont deux personnalités très différentes.

    Mettre un terme à tout ça après huit saisons, ça a été difficile ?

    Ca a été dur. Parce qu'on est un peu devenu une famille. On ne pense qu'à ça. Donc ça fait un changement énorme. On n'a pas l'habitude d'avoir des boulots qui durent si longtemps ! Jamais en fait ! Donc ça a été doux-amer. J'étais très reconnaissante, fière de ce que j'avais accompli. Mais c'était aussi un vrai adieu.

    "Je pourrais raconter l'histoire de House qui ouvre une pharmacie !"

    Y avait-il encore des histoires à raconter ?

    C'est difficile de savoir quand il faut s'arrêter. Mais ça dépend à qui vous posez la question. David Shore, par exemple... Il a travaillé comme un fou. Il dirigeait la salle des scénaristes, il était aussi producteur... Il était fatigué ! (Rires) Pour moi, ce n'était pas le cas. Le personnage de House est un personnage que j'aimerai toujours, et je continuerai à rêver de ses aventures, de ce qu'il pourrait faire aujourd'hui. J'aurais sans doute pu continuer un peu plus longtemps. Je me rappelle du double épisode qui ouvre la saison 6, on n'était même pas dans l'hôpital. C'était intéressant pour moi, ça m'a permis d'imaginer ce qu'on pouvait faire en dehors de ce lieu. J'aurais pu continuer parce que j'étais vraiment investie, que j'étais fascinée et que j'aimais vraiment ce personnage. Je pourrais raconter l'histoire de House qui ouvre une pharmacie !

    Vous êtes satisfaite de la fin de la série ?

    Pour moi, c'est un peu flou. La fin de la série est floue pour moi parce qu'il y avait des émotions contradictoires. J'ai vu moins de la fin de la série que de toutes les autres saisons. Un jour, je regarderai vraiment, à fond. Je me souviens que Hugh m'a parlé du documentaire "Swan Song" qu'il a fait à propos de la série, juste avant la fin. Un jour, j'ai vu que je l'avais enregistré automatiquement et ça m'a rendue triste... ! C'est dur !

    Est-ce que Wilson est finalement l'âme soeur de House ?

    Je crois oui. En tous cas dans la version que l'on a vue, avec la fin qu'on connaît. Mais plus loin, je pense qu'il doit y avoir une âme soeur féminine pour lui, quelque part. Mais si Wilson est son âme soeur, ça ne me dérange pas ! En revanche, ce n'est pas Cuddy. Je ne pense pas, non.

    "La baisse de moyens a été un défi,"

    Pour en revenir à la fin, on a beaucoup entendu parler lors des deux dernières saisons des négociations financières, pour que "Dr House" ait une saison 8. En tant que productrice, vous avez dû vous battre pour la série. On imagine que c'était devenu plus amer que doux, du coup...

    C'est un peu à ça que je faisais référence quand je parlais de la fin qui était un peu floue pour moi, en fait. Ces choses-là ne sont pas arbitraires. J'ai un regard un peu unique, puisque j'étais productrice exécutive. A la fin de la saison 7, les audiences ont chuté. Donc pour la saison 8, on a eu moins d'argent. Mais c'est comme ça ! Mais pour moi, à partir du moment où je connais le coeur de ma série, qui ici est House, si on me donne dix noix pour faire la série, je la ferai pour dix noix. Mais si on ne m'en donne que deux, je trouverais un moyen de la faire pour deux noix. Pour moi, l'important, ce sont les personnages. Le fait qu'on ait eu moins d'argent, pour certains, c'est scandaleux et injuste, mais pour moi, c'était un défi. Les audiences ont chuté à la fin de la saison 7, donc c'était à nous de nous débrouiller ! Je sais que ce n'est pas un point de vue habituel, mais c'est le mien.

    C'est très pragmatique !

    Oui, c'est vrai. Donc pour moi, c'était une période un peu bizarre. Et je ne suis pas du genre à être remplie de colère. J'étais encore heureuse d'avoir la chance de pouvoir imaginer ce personnage et ses aventures.

    Quels sont vos projets maintenant que "House" est fini ?

    D'abord, je suis ravie d'être ici, sans rien produire ! Ca me permet de sortir un peu de mon bureau et de quitter le pays ! Je travaille sur un film pour Sony en ce moment. Et peut-être une nouvelle série, j'en suis au tout début mais je ne suis pas sûre que ça va se faire. Mais quoi qu'il arrive, il y aura toujours un thème un peu fil rouge dans mon travail, qui est de m'intéresser à la rédemption de personnages, s'ils le méritent ou non. De gens dont l'attitude ne reflète pas ce qu'ils sont. Je suis un peu fleur bleue, comme ça.

    Dr  House

    Enseignements de Dr House:http://lecercle.lesechos.fr/entreprises-marches/management/rh/221184964/dr-house-derriere-cynisme-vraies-lecons-management

    Voici trois enseignements qui, dans leur nature ou leur illustration, sont particulièrement remarquables :

    1) Cultiver l’antagonisme : si toute l’équipe a un but commun (la guérison du patient), House attend de chaque membre de son équipe des convictions personnelles sur le diagnostic. Qu’elles soient bonnes ou mauvaises, ce sont elles qui permettent de trouver la clef à la fin de chaque épisode. À tel point que House n’hésitera pas à licencier un membre très compétent de son équipe au motif qu’il est trop souvent d’accord avec lui.

    2) Savoir transgresser les outils et les systèmes : pour arriver à guérir son patient, House n’hésite pas à transgresser les règles de l’hôpital et demande la même chose à son équipe. En entrant par infraction dans la maison du patient lui-même, en ne demandant pas l’accord pourtant nécessaire de la directrice de l’hôpital, etc. Si cela va jusqu’à l’outrance, c’est néanmoins un symbole fort de la nécessité de prendre des risques pour réussir des défis majeurs.

    3) Être à l’écoute : ceux qui connaissent la série savent que House n’est pas toujours un modèle d’écoute, néanmoins c’est toujours de son attention portée à une remarque ou à une situation, souvent déconnectée du cas du patient, que House réussit à trouver la bonne idée. Presque jamais il ne trouve seul la solution. Il a besoin de son équipe pour réussir tout autant que son équipe à besoin de lui pour avancer.

    Voilà quelques points parmi d’autres qui nous font dire que Docteur House est, pour l’œil averti qui sait faire la part des choses, une bonne illustration de leadership et de management d’équipe.

    Dr  House

    Citations:(extraits)

    "Bonjour, messieurs, dames, les malades et leurs familles, afin de gagner du temps et d’éviter d’ennuyeux bavardages ultérieurs, je suis le Docteur Grégory House, appelez-moi Greg. Je suis l’un des trois médecins assurant les consultations ce matin. Ce rayon de soleil est le Docteur Lisa Cuddy. Le Docteur Cuddy dirige cet hôpital, alors malheureusement elle est trop occupée pour s’occuper de vous. Je suis un médecin, diagnosticien certifié avec double spécialité en maladie infectieuse et néphrologie. Je suis aussi le seul médecin de l’hôpital qui assure les consultations contre sa volonté. Mais soyez tranquille, pour la majorité d’entre vous, le travail pourrait être fait par un singe avec un flacon d’ibuprofène. À ce sujet, si vous êtes particulièrement enquiquinant vous risquez de me voire prendre ceci, c’est de la Vicodin. C’est à moi, vous n’en aurez pas ! Non, je n’ai pas de problème de gestion de douleur, j’ai un problème de douleur. Mais va savoir, peut-être que je me plante, peut être que je suis trop défoncé pour faire la différence. Bref, qui est ce qui veut de moi ?... Et qui est ce qui préfèrerait attendre l’arrivée d’un des deux autres médecins ? Si vous changez d’avis, je suis en salle d’examen numéro un !"Dr House

    "- Arrêtez de regarder mes fesses quand vous croyez que je ne vous vois pas, arrêtez de vous pointer chez moi quand vous savez que je ne suis pas seule et arrêtez de fantasmer sur moi sous la douche. Ce navire a mit les voiles depuis longtemps, oubliez moi.
    - Si vous faites toujours allusion à vos fesses, supertanker plutôt que navire serait une métaphore plus précise.
    - Han han."Dr House / Cudy

    "Le sexe peut tuer. Tu sais ce que notre corps subit quand on fait l’amour ? Les pupilles se dilatent, les artères se contractent, la température augmente, le cœur s’emballe, la pression artérielle crève le plafond. La respiration s’accélère et devient haletante, le cerveau envoie des impulsions électriques dans tous les sens et des sécrétions jaillissent de toutes les glandes et les muscles se tendent et se crispent comme si on soulevait trois fois le poids de notre corps. C’est violent, c’est brutal et ce n’est pas joli. Et si Dieu ne s’était pas arrangé pour qu’on en redemande, ça fait bien longtemps qu’on aurait cessé de se reproduire. Les hommes ont la chance de n’avoir qu’un seul orgasme. Tu sais que les femmes peuvent jouir pendant une heure !"Cameron

    Pour découvrir d'autres:http://www.kaakook.fr/film-1129

     Autre article sur le sujet de ce blog:http://televisionaddict.eklablog.com/dr-house-saison-5-a1500949

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 12 Janvier 2014 à 12:25

    Moi

    bonjour Mila ,je reviens , passe un bon dimanche

    j'adore ton nouveaux blog et le (Dr-housse) ...

    je te souhaite mes meilleurs vœux et bonne année2014 merci pour les tiens

    gros bisous a toi Mila

    ton amie sionie

    2
    Dimanche 12 Janvier 2014 à 14:42

    Merci,je te souhaite la même chose,contente de te retrouver,bisous!!

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