• Eternal sunshine of the spotless mind

    Eternal sunshine of spotless mind

    Distribution:

     

    • Jim Carrey  : Joel Barish
    • Kate Winslet  : Clementine Kruczynski
    • Kirsten Dunst  : Mary Svevo
    • Mark Ruffalo  : Stan
    • Elijah Wood  : Patrick
    • Tom Wilkinson  : Dr Howard Mierzwiak
    • Thomas Jay Ryan  : Frank
    • Jane Adams  : Carrie
    • David Cross : Rob
    • Ellen Pompeo : Naomi (remerciement spécial,coupée au montage)

    Résumé:

         Joel et Clémentine semblent tout avoir pour être heureux, mais ce ne sont que les grandes lignes, mais au fil du film on comprend que comme pour beaucoup d'histoires, les choses semblent s'être enlisées.A un tel point que Clémentine décide de se faire effacer cette histoire de la mémoire.

        Joel désemparé décide de faire de même mais est ce si simple de faire une croix sur ses sentiments.En voyageant dans ces souvenirs , il redécouvre ce qui a fait l'essence même de son amour, mais le processus est lancé, est-il trop tard?

     

                               

    Inspiration du titre:

    Le titre du film est tiré du poème Épître d'Héloïse à Abélard (Eloisa to Abelard) d'Alexander Pope, cité dans le film par le personnage de Mary Svevo (Kirsten Dunst) :

     

    How happy is the blameless Vestal's lot!
    The world forgetting, by the world forgot;
    Eternal sunshine of the spotless mind!
    Each pray'r accepted, and each wish resign'd.

     

    Traduction littérale en français 
    Que le sort de l'irréprochable vestale est heureux !
    Le monde oubliant, par le monde oublié ;
    Éclat éternel de l'esprit immaculé !
    Chaque prière exaucée, et chaque souhait décliné

    Secrets de tournage:

     

    La genèse du projet

       C'est lors d'un dîner entre Michel Gondry et son ami Pierre Bismuth, il y a de cela plusieurs années, que se dessina le projet Eternal sunshine of the spotless mind. Bismuth lanca au réalisateur français une idée aussi provocante que riche de possibilités : "Que dirais-tu si tu recevais une carte t'annonçant que tu as été effacé de la mémoire d'une certaine personne, et que tu devrais désormais t'abstenir de tout contact avec elle ?" Quelques années plus tard, Gondry, après avoir travaillé avec Charlie Kaufman sur Human Nature, décida, en sa compagnie, de mettre en chantier un film d'après cette idée très originale.
     

    L'amour sous toutes ses dimensions

       Pour le scénariste Charlie Kaufman, Eternal sunshine of the spotless mind est une histoire d'amour à plusieurs facettes. "J'ai toujours pour principe d'écrire des choses qui reflètent la vérité, ou tout du moins, ma vérité", explique-t-il. "Or, je ne retrouve rien de celle-ci dans la plupart des films d'amour. Peut-être ont-ils un rapport avce la vie des gens qui les font, mais ils n'en ont certainement pas avec la mienne. Ici, l'histoire d'amour est présentée dans toutes ses dimensions, plaisantes ou déplaisantes, et je me garde bien d'en tirer une quelconque morale."

       Pour le producteur Anthony Bregman, le film est l'histoire d'amour dont il rêvait depuis longtemps. "Racontée à la perfection, avec tendresse et émotion", déclare-t-il, "elle débute à ce stade critique où un homme et une femme ne peuvent plus se supporter l'un l'autre, puis elle remonte à la source de leur amour, au premier regard, au premier élan... et repart en sens inverse, permettant ainsi à Joel et Clementine de revivre leur idylle avec, désormais, la claire conscience de ce qui les menace. C'est la première fois que je trouvais cela dans un scénario."
     
     

    Histoire d'un titre à rallonge

       Le titre Eternal sunshine of the spotless mind est emprunté au poème Eloisa to Abelard, rédigé par Alexander Pope au 18e siècle. Charlie Kaufman avait déjà utilisé ce poème dans le long-métrage Dans la peau de John Malkovich, réalisé par Spike Jonze en 1999 et qu'il avait scénarisé.
     

    L'évolution de Jim Carrey

        Pour le comédien Jim Carrey, habitué au registre comique, Eternal sunshine of the spotless mind est l'occasion de poursuivre dans une veine plus dramatique entamée avec The Truman Show et poursuivie avec Man on the Moon et The Majestic. Du film de Michel Gondry, il dit qu'"il est l'un de ces rares qui vous font apprécier vos malheurs passés. Je n'aurais pu jouer ce rôle si je ne l'avais vécu pour de vrai."
     

    Kate Winslet dans le rôle de Jim Carrey ?

       Pour la comédienne Kate Winslet, Eternal sunshine of the spotless mind permet d'assister à une surprenante attribution de rôles. "En fait", explique-t-elle, "c'est MOI qui tient "le-rôle-de-Jim-Carrey" tel qu'on l'entend généralement, alors que Jim joue celui qu'on m'offre le plus souvent. Il fait ici des choses qu'on ne l'avait jamais vu faire à l'écran, incarnant le plus sobre, le plus rationnel, des deux personnages, tandis que je joue la fille totalement chaotique, qui grimace et gesticule. Dans ce film, chacun est utilisé à contre-emploi, ce qui est généralement une bonne chose."

    Avant Jim Carrey...

       Avant que Jim Carrey ne décrôche le rôle de Joel Barish, c'est Nicolas Cage qui était pressenti pour tenir la vedette d'Eternal sunshine of the spotless mind.
     
                         
     
    Mon avis sur le film:
     
        Tout d'abord , je vais donner un lien sur une description plus philosophique du film, ce qui est dit n’est pas faux même si ce n’est pas comme cela que j'ai compris le film: http://la-philosophie.com/eternal-sunshine-spotless-mind-analyse
     
    On peut comprendre le film de différentes façons, il n'y a pas de règles pré établies, vu que dès le départ on est noyé dans l'ordre de l'histoire, première rencontre ,deuxième rencontre, il y a un petit décalage, dans le fil narratif.On comprend que quoiqu'il arrive un drame amoureux se noue.Il faut attendre les dernières scènes pour en comprendre véritablement l'enjeu. Je suis peut-être un peu simpliste, mais j'avoue que j'y ai vu l'éternel retour des choses, et que malgré les techniques les plus poussées, on peut effacer les souvenirs, mais on ne peut retirer les racines d'un amour.L'amour encré comme dans le plus profond de soi-même a besoin de sa mémoire pour exister mais ne peut mourir.L'homme a beau essayer de contrôler les choses, mais subsiste cette ligne que l'on ne peut toucher et qui nous ramène continuellement là où nous devons être.Je suis d'accord pour dire aussi, que les protagonistes effectivement,n'ont pas pris de leçons de leurs erreurs passées.Mais qu'est ce que l'amour que cette part d’irréfléchi, d'irraisonnable qui fait qu'on est près à tout pour ne pas le perdre, même si dans certaines situations il nous apporte le désespoir.
    Les protagonistes sont criant de vérités, sur ce fond de romance désarticulée, des paysages magnifiques, une bande sonore extraordinaire..qui nous donne envie d'aimer et d'y croire encore et encore..........Everybody got to learn sometimes a été maintes fois reprise , mais celle de Beck est majestueuse, j'aime ce titre , il donne une part magique à cette histoire qui disparait.
     

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  • Commentaires

    1
    Mardi 11 Octobre 2016 à 12:55

    Très jolie reportage il a l'aire bien ce film .Je te souhaite un bon mardi et une bonne semaine chaud chez nous bisous .

    Jacques.

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    2
    Mardi 11 Octobre 2016 à 15:43

    Merci Jacques, je ne viens pas souvent pas mal de nouveaux défis à relever, en tous les cas merci de passer me donner des nouvelles, bonne fin de journée!!!

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